JEANNE HOESCH_ARCHITECTES

Jeanne Hoesch est diplômée de l’école spéciale d’architecture (DESA) en 2000, elle s’est formée auprès de Paul Virilio et François Seigneur.
Son architecture s’interroge à chaque étude sur le particularisme que va constituer l’identité d’un bâtiment.
A chaque projet, une nouvelle réflexion s’impose. Elle aborde l’intégration du bâtiment dans son environnement, au regard de l’usage qu’il doit abriter. Il s’agit de trouver l’expression formelle qui répondra le plus justement à cette problématique, et qui constituera l’identité du projet.
La pratique architecturale de Jeanne Hoesch comprend autant l’aménagement d’espaces intérieurs que des restructurations lourdes ou la construction de bâtiments neufs.
Elle n’hésite pas à voyager pour répondre à ces différentes commandes architecturales.
En Allemagne, elle a conçu et réalisé, en association avec Urs Keller, un bâtiment de bureaux HQE dont l’apport solaire des façades vitrées est maitrisé par des toiles PVC micro perforées.
En Vendée, des clients parisiens rêvant de télé-travailler depuis le bord de mer, lui ont confié la réalisation d’une maison pensée en deux phases de construction.
Près d’Aix-en-Provence, elle a mené à bien la transformation d’une bergerie en loft rural et bohême ; c’en est suivi la restructuration importante d’une maison du 19ème siècle située dans un village près de Marseille.
En Italie, près de Monaco, elle construit une maison installée sur des terrasses en pierres où l’on cultivait autrefois des espèces potagères et horticoles.
A Paris son activité s'est étoffées à travers notamment la rénovation de plusieurs appartements, l’aménagement de bureaux, et la restructuration d’un bâtiment des années 70 abritant une école d’infirmières.
A présent Jeanne Hoesch vit à Marseille où elle s'engage dans de nouveaux projets qui la confrontent à de nouveaux défis. L’un de ces défis est de proposer une architecture en relation avec un récit propre au lieu et aux besoins, à l'inverse des édifices régionalistes qui arborent les ornements et les formes simplistes du style néoprovençal qui contamine le territoire comme seule réponse au désir d’habiter. Il est temps de reprendre goût à l’inattendu.